Dans notre appel à contributions pour ce numéro 31, nous écrivions : « Sándor Ferenczi est progressivement réapparu dans le paysage psychanalytique après une période d’oubli d’un demi-siècle. » Puis nous posions la question : « Qu’est-ce que la pensée de Ferenczi, dont le texte de 1908 concernait le lien éducation et psychanalyse, apporte aujourd’hui ? » Nous aurions pu ajouter : « Qu’en est-il, pour nous, de notre connaissance et de notre utilisation des travaux de ce psychanalyste ? » Ce sont ces questions que nous proposons d’aborder sous la forme d’un dossier auquel ce numéro est consacré.